Nom : Kurando.
Prénom : Akira.
Race : humain.
Age : 27 ans.
Apparence :
Akira est un jeune homme d’origine japonaise, à la peau assez blanche, lisse et ferme, signe d’un entretien sans faille et d’une bonne hygiène alimentaire, et au moins au sein de l’empire du soleil levant, il est considéré comme extrêmement beau, d’une beauté à la fois lisse et virile, pas non plus une beauté androgyne, en somme. Mesurant très exactement un mètre et quatre-vingt centimètres, il est considéré comme un peu plus grand que la moyenne de ses compatriotes, mais pas autant qu’il y a ne serait-ce que vingt ans. Il pèse environ soixante-quinze kilogrammes, à cinq cent grammes près, les muscles pesant davantage que la graisse, et n’en a pas une once en lui, à part peut-être ce qu’on considère comme de la bonne graisse, et encore.
Musclé par contre, il l’est, c’est le moins qu’on puisse dire à son sujet, même si sa musculature est sèche, elle se voit néanmoins à l’œil nu, et se sent au toucher. Une belle chevelure brune orne son beau visage, des yeux observateurs, une bouche pulpeuse, un compromis sublime entre la finesse et la virilité. Au niveau vestimentaire, Akira porte le plus souvent des habits amples et confortables, de type urbain qui ne gênent pas ses mouvements. En combat, il porte une tenue moulante noire et or qui met son corps en valeur. Quand il travaille en laboratoire, il porte la blouse blanche classique des scientifiques, des bottes et des gants en caoutchouc et des lunettes rondes dites atomiques.
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Armes : un fusil laser qui fait pfuit et pfiut.
Pouvoirs : contrôle de robots, champs de force.
Couverture : ingénieur en robotique appliquée d’avant-garde.
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Caractère :
Au demeurant, Akira Kurando est un personnage qui s’avère calme, plutôt amical, courageux, téméraire, un brin kamikaze ! Son attitude est paradoxale en fait, selon qu'il est dans le feu de l'action ou au repos, le deuxième état étant le plus fréquent. Dans ce dernier cas, il devient à priori observateur, mais surtout méditatif, dans le sens où il peut faire parfois croire qu’il observe son entourage, son environnement immédiat alors qu’en fait il médite. Par là, il faut comprendre qu’il dort éveillé. Akira ne donne des conseils que quand on lui demande son avis, le reste du temps, il préfère écouter en dodelinant de la tête, ce qui rend moins visible le moment ou il « pique du nez », le moment où il médite quoi.
Il n’est en apparence pas susceptible, mais a un étrange humour ironique qui a tendance à pousser toute personne injurieuse à en venir aux mains, et bien qu’étant modeste quand il dit qu’il a « un peu appris le karaté avec son mentor », Akira peut rabattre le caquet à n’importe quelle brute humaine, quasiment sans utiliser de capacité spéciale. Il aime le karaoke et boire du saké avec modération, il prend des décisions rapidement mais pas toujours judicieuses, on ne sait pas très bien quand il plaisante et quand il est sérieux. Il aime plaire, séduire l’heureuse élue de son cœur, les dîners romantiques, les ballades au clair de lune et être éconduit de façons diverses et variées. Il prend un air très sérieux quand il ne comprend pas ce qu’on lui dit, éclate de rire quand il est dragué, flatté ou critiqué de façon négative et d’une manière globale, se moquant des attaques orales, les renvoyant bien plus fortes à « l’indigène qui essaie de communiquer », et fait en sorte qu’on ne sache rien sur sa vie intime.
Akira peut tuer sans scrupule mais ne tue pas à tort et à travers, ne le faisant qu’en dernier recours sauf si on lui ordonne en ce sens. Un peu plus vindicatif que sa coéquipière de choc, il a une facilité certaine à neutraliser ses ennemis en sachant comment les mutiler de façon très précise, une précision chirurgicale, ses recherches sur le cerveau humain l’ayant aussi amené à une connaissance du corps humain. Depuis son arrivée à Emeraudia, il peut étudier tout à loisir les faiblesses de chaque race, angélique, démoniaque, ou autre. C’est quelqu’un qui ne fait pas les choses à moitié mais qui se ménage tout de même des moments de loisir, que ce soit pour faire plaisir à sa coéquipière qu’il courtise beaucoup ou pour ne rien faire du tout, s’étalant sur un divan et « bullant », comme qui dirait.
Histoire :
Le passé d’Akira Kurando est plutôt nébuleux, pour ne pas dire mystérieux à plus d’un titre. On sait qu’il est né au Japon, au vingt-troisième siècle, qu’il est issu d’une famille de scientifiques très doués. On sait qu’il a développé très tôt une affinité pour tout ce qui touche à la robotique. Son enfance et son adolescence sont opaques, à priori sans soucis, sans trauma. Surdoué dans son domaine, un peu autiste dans les autres, il a fait de vifs progrès dans ses recherches sur une interface neurale avec des robots lorsqu’il a confronté son génie créatif avec celui d’une rivale. Par la suite, elle est devenue son associée sur un projet commun, dans des circonstances inconnues. Ensemble, ils ont développé un contrôle mental de robots toujours plus perfectionnés, ainsi que la création de champs de force aux applications diverses et variées, ainsi que le principe d’antigravité pour voler dans les airs sans ailes ni propulseur thermique encombrant.
Lorsqu’ils ont mis en pratique le fruit de leurs recherches, plusieurs gouvernements ont tenté de leur voler par la force leurs créations, y compris leur propre pays, ce qui a provoqué un carnage chez les assaillants, les robots taillant en pièces les ennemis, les champs de force les faisant voler dans tous les sens, quand ils ne les réduisent pas en hachis parmentier. A l’issue du massacre, leur laboratoire explose et on les croit morts, mais en fait Akira et son associée ont été transférés en Emeraudia et recrutés par l’Agence qui préfère utiliser leur savoir que risquer de voir ces deux savants perturber l’équilibre de leur monde natal. Akira accepte l’offre, appréciant le coté vigilant de l’Agence, et peut ainsi montrer tout le potentiel de ses robots, de ses champs de force. Peut-être parviendra-t-il également à à transmettre cette interface neurale à d’autres personnes, même si c’est loin d’être évident.
Au moment où l’histoire commence, Akira travaille donc pour l’agence, comme ingénieur en robotique appliquée d’avant-garde, un titre certes un peu long mais qui explique l’aspect novateur de ses recherches. Il œuvre aussi sur le terrain, en mission, montrant qu’il est aussi un homme d’action. Il travaille avec sa rivale devenue son associée et sa coéquipière, leurs relations étant d’une opacité totale. On sait juste que Akira a un comportement très séducteur envers son alliée, la courtisant pour ainsi dire tout le temps, ce qui amuse immanquablement la jeune femme qui l’éconduit de façons diverses et variées.
Les Robots :
Pour construire, réparer et renforcer ses robots, Akira a besoin d’une usine miniature qu’il a installée dans son laboratoire souterrain, au quartier général de l’Agence. Il peut téléporter à loisir tout robot et équipement de renforcement de là-bas, mais uniquement là où il se trouve, et après un certain délai lié au refroidissement du système de téléportation. Il ne peut pas s’en servir pour se téléporter ou téléporter un être vivant, uniquement ses robots. A noter qu’une fois détruits, les robots sont téléportés d’office à l’usine où ils sont aussitôt recyclés pour être reconstruits à moindre coût.
Il y a d’abord les Ouvrières Unités Espionnes Pratiques, les OUEP, des tout petits robots qui comme leur nom l’indique, espionnent en rampant ou volant. Akira peut en commander une dizaine en même temps. De la taille d’une fourmi, ils transmettent ce qu’ils voient et entendent mais n’ont pas un champ de perception très important, ni une grande autonomie.
Viennent ensuite les Robotiques Drones Véloces, les RDV, tournés uniquement vers le combat comme leur surnom poétique l’indique. Akira peut en contrôler trois en même temps, ils sont son infanterie légère. Une fois renforcés, leur quadri-laser fait des dégâts conséquents chez l’ennemi, et ont une précision chirurgicale. Leur blindage est léger mais avec l’ajout de champs de force, ils sont redoutables. Leur fabrication demande des matériaux très basiques et recyclés à partir de déchets domestiques.
Viennent ensuite les Robots Eléments Protectors, les REP, qui sont orientés vers le combat mais aussi vers la réparation sur place des autres unités robotiques. Akira peut en contrôler deux en même temps, ils sont son soutien technique même si leurs doubles lasers rotatifs font aussi de sérieux dégâts, mais de façon plus létale que les RDV, moins précise aussi. Les REP tuent plus rapidement, de façon moins contrôlée leurs cibles. Leur blindage est également un peu plus conséquent.
Vient enfin le Robot d’Assaut Suprême, le RAS qui a un blindage très fort et une puissance de feu immense, avec ses canons lasers lourds et même une artillerie de mini-missiles dévastateurs téléguidés sur le dos. Akira ne peut en contrôler qu’un à la fois, c’est la puissance de feu sans nuance, qui peut vaporiser toute vie dans son champ d’action.
En combat, Akira peut donc contrôler jusqu’à six robots, trois RDV, deux REP et un RAS, les OUEP ne comptant pas dans ce calcul même s’ils peuvent être très pratiques aussi en combat, en localisant un ennemi caché, par exemple.
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Avatars pris ou réservés : Jun Matsumoto.
Ou avez-vous connu le site / Qui vous en a parlé? : refonte de personnage.^_^
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